ROBIN ALIX FRITZ19 ANS - ALLEMANDE - CELIBATAIRE - ETUDIANTE EN HISTOIRE DE L'ART - BISEXUELLE - CALCULATRICE .
Histoire :
J'ai toujours aimée les femmes. Aussi loin que je m'en souvienne, elles m'ont toujours fascinées. Enfant, j'avais cette manie de toujours regarder ma grande soeur se maquiller, se coiffer, s'habiller, se faire jolie pour les beaux yeux d'un garçon qui lui brisait toujours le coeur deux semaines après. Je n'ai jamais réussis à dire à ma mère combien les filles me plaisaient. J'avais peur de sa réaction, peur qu'elle ne me jette dehors. Issue d'une famille bourgeoise, il m'est absolument impossible de dire un mot de travers. J'ai toujours vécue sagement, sans sortir des rangs. Accordant de temps en temps des rendez-vous à des hommes sans grande importance. Je me suis souvent offerte à ces garçons, sans vraiment le vouloir. Souvent par curiosité. C'est à l'âge de dix-huit que j'ai compris que ma vie devait changer. Et elle a changé, oui, ma vie a radicalement changé quand Kamille est entrée dans ma vie. C'était au mois de Janvier, de l'année dernière. Nous nous sommes rencontrés grâce à ma meilleure amie qui connaissait Kamille. «
Kamille, Robin. Robin, Kamille. » elle n'avait rien ajouté, nous laissant le loisir de parler le temps qu'elle sorte passer un coup de téléphone. «
Sympa le prénom. » m'avait-elle alors dit. J'ai simplement souris. Face à son jean troué, ses doc martens et ses longs cheveux noirs. Elle était tout mon contraire. J'appris plus tard qu'on ne se ressemblait en rien. Elle était vulgaire et faisait ce qui lui plaisait quand je faisais attention aux mots que j'employais et portais toujours des robes impeccables. J'étais l'enfant modèle et elle était le vilain petit canard. C'est ce qui nous a plu. Et elle m'est tout de suite devenue indispensable.
J'ai très vite succombé à l'appel de l'ivresse, de la cigarette et des soirées animées. Mes robes trop sages avaient laissées place à des vêtements plus provoquant et je devenais comme Kamille. Ce qui ne lui plaisait pas forcément. Ne vous méprenez pas, je ne devenais pas comme elle pour la copier ou quoi. Elle me faisait simplement découvrir des choses que j'appréciais par la suite. Elle m'a d'ailleurs souvent reproché d'avoir changé. Je plongeais un peu plus à chaque fois et elle me maudissait pour ça. Pourtant, je n'étais que le résultat de ce qu'elle avait déclenché. Un beau soir, elle me reprocha, une fois encore, d'avoir changé et tout bascula. «
Putain, Rob, stop maintenant. On rentre ! » «
Mais, tu vois pas qu'on s'amuse bien lui et moi ? » «
ça suffit, j'en ai marre. Où est la jeune femme prude et bien élevée, hein ?! » «
Pas ici en tout cas. Tu vas pas encore me faire un cinéma. Je m'ennuyais dans ma vie, je n'avais rien à faire si ce n'est aller à l'église avec ma mère. Et tu es arrivée, tu as tout bousculée ! Maintenant, si j'en suis là, c'est à cause de toi ! » elle resta bouche-bée, puis, elle se pencha vers moi et je me jetai sur ses lèvres pour un baiser fiévreux. Nos lèvres semblaient déjà se connaître. Elles se mouvaient tellement bien ensemble que c'en était fou. Et là, tout bascula. Il n'y avait plus que nous. Notre amour avait prit le dessus sans que nous ne puissions rien y faire. Une année, une année de folie, d'amour, de baisers, de tendresse. Une année à nous, puis, tout s'est écroulé.
«
Je te quitte. » c'était il y a deux mois. Elle est arrivée chez moi, comme une fleur. Habillée de ses vêtements les plus présentables, elle a demandé à me voir et est monté dans ma chambre. J'étais entrain de dessiner. Et elle lança sa phrase, comme ça, sans un bonjour. Je restai bien évidemment sur le cul, comme on dit. «
Pardon ? » «
Je te quitte. C'est fini. Plus de nous. Reprends ta vie d'avant, oublie-moi. » je n'ai pas su quoi dire. Par la suite, j'ai imaginé des tonnes de réponses, mais au final, on ne peut rien répondre à ça. Je l'ai laissé partir. Sans même me douter qu'elle aurait voulu que je la rattrape. J'appris, deux semaines plus tard, qu'elle quittait l'Allemagne et que je me retrouvais seule. Sans personne à qui parler de ça. C'est à partir de là que j'ai commencé à fréquenter d'avantage de soirée. Je n'ai pas pleuré depuis son départ, par fierté sans doute. J'ai refusé qu'on prononce une nouvelle fois son nom. J'oubliais tout. Je n'avais pas le choix. Je l'aimais. Mais elle m'a apprit à haïr les femmes. Plus encore que les hommes. J'aurais dû m'en douter, une fille sait où faire mal et comment.
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Goûts :
Présentez comme vous le souhaitez une liste des goûts de votre personnage, voici des exemples il est nécessaire d'en avoir une douzaine au minimum dans sa fiche, mais ous vous laissons libre cours à votre imagination sur le choix et si vous avez d'autres idées.. N'hésitez pas ! Film - Idole - Endroit - Ville - Liquide - Saison - Chanson - Hobbies - Groupes - Magazines - Sport - Objet fétiche - Phobie - Pêché mignon - Fantasme - Cigarettes - Parfum...